Les Routiers Sont Sympas … (6)

LES ROUTIERS SONT SYMPAS … (6)
L’auto-stopeuse idéale – Fin du voyage - 4
Bonjour;
Si vous avez lues les histoires précédentes, vous savez que je suis conducteur routier, international, longues distances.
Cela veut dire que je roule sur les routes des différents pays de l’Union Européenne, en cours de « construction », avec une semi-remorque pouvant transporter différentes marchandises.
Au départ d’un voyage pour l’Allemagne, je prends à bord une jeune fille qui ‘apprêtait à faire de l’auto-stop. Elle voulait aller à Paris. Mais, comme elle aime les voyages, elle accepte de me suivre.
Au cours du temps passé ensemble, nous avons fait connaissance. Nous en étions arrivés à nous faire des confidences « intimes » sur notre sexualité.
Le soir venu, nous devions partager la couchette du camion pour passer la nuit. C’est ainsi que, tout naturellement, nous avons « copulé » avant de dormir,  et, ensuite, chaque fois que nous en avions l’occasion...

Cette histoire, comme les autres, est réelle. Seuls les noms,prénoms des personnages et de certains lieux sont changés ou imaginés.
Nous avons passé la nuit sur le parking du poste-frontière Franco-belge de Menin.
Bien entendu, nous avons « fait l’amour » avant de nous endormir.
Ce vendredi matin, après avoir fait « dédouaner » les marchandises, nous reprenons la route vers la région bordelaise où je dois livrer.
Tout en roulant, et puisque je dois passer par Angoulême, nous convenons que Christine passera le week-end chez elle. Je la retrouverai le lundi matin, à l’heure convenue, près de la station-service. Cela lui permettra de « changer de linge », « refaire » son sac de voyage et se préparer pour venir en Belgique. De mon côté, la livraison faite, je rentrerai à l’entreprise pour « rendre compte » et changer de semi-remorque. Je passerai le week-end à me reposer et « recharger » mes batteries. La semaine qui s’annonce sera « dure ».

..

Lundi matin, Christine est « fidèle au poste ». Elle monte à bord. Range son sac au pied de la couchette. Elle a changé de tenue : un pantalon en jean bleu, une veste du même tissu par-dessus un t-shirt blanc. Elle est chaussée de tennis. Cette tenue lui donne un « air » décontractée, une allure « sportive ».
Après avoir échangé un rapide « bécot », je repars et lui dit :
- « Alors, ce week-end s’est bien passé.
Oui, j’ai dormi presque tout le temps... Et toi ?...
Tu avais tant de sommeil à rattr .... Moi, c’est pareil... J’ai bien dormi... Je pense être en forme pour quelques galipettes...
Moi aussi, il me tarde de nous retrouver... Ce week-end, au moins deux fois, j’ai joui en pensant à toi et aux plaisirs que tu m’as fait découvrir...
Tu ne serais pas amoureuse par hasard ?....
Peut-être un peu... Mais je ne voudrai pas...
Pourquoi ?...
Si un jour je suis vraiment amoureuse d’un homme, ce sera quelqu’un qui vivra à mes côtés... Pas un routier qui sera toujours sur les routes. Je ne veux pas supporter l’angoisse de l’accident, éventuellement de l’infidélité... Et toi, tu es amoureux ?...
Je vais te dire franchement... Tu me plais beaucoup... Tu es le genre de fille que j’aimerais avoir pour compagne... Mais moi aussi, je voudrais partager, chaque jour, les responsabilités familiales. Je voudrais voir grandir mes s... Je ne serai pas routier toute ma vie... Quand j’arrêterai, je chercherai la femme « idéale »... Nous avons la même conception de la vie familiale... Je voudrais profiter encore, quelque temps, de ma liberté avant de chercher... Alors, puisque nous sommes d’accord, profitons-en... Prenons du bon temps... Passons de bons moments ensemble... Pense à ce que nous allons faire ce soir...
Je mouille déjà...  »
Le reste de la journée se passe tranquillement... Nous sommes « sages ». Nous discutons de diverses « banalités » sur le temps, le paysage, les villes et villages traversés.
..
Á la tombée de la nuit, nous arrivons au poste-frontière Franco-belge d’Halluin. Après avoir mangé et fait notre toilette, nous nous endormons « bien sagement ».
Le lendemain, les formalités douanières terminées, nous reprenons la route.
Á midi, la marchandise est livrée, celle du retour est chargée. Cette dernière sera acheminée sous la règlementation du Transport International Routier (TIR). Cela supprime les arrêts aux frontières. Surtout, cela nous libère du temps. Nous comptons bien en profiter...
Après avoir contourné Gand, nous trouvons une aire de repos ou le parking des poids lourds, sous des arbres, est éloignée du bruit de la circulation. J’y immobilise le camion.
Nous sommes seuls. Bras dessus, bras dessous nous faisons quelques pas pour nous « dégourdir » les jambes. De retour dans la cabine, rideaux tirés, nous commençons à nous « peloter », à nous embrasser.
Nos mains « baladeuses » déboutonnent et font glisser nos vêtements. Nous nous retrouvons en slip et « petite culotte ». Chacun peut constater la tension qui « règne » dans le bas-ventre de l’autre. Mon slip ressemble à un mini chapiteau de cirque. La culotte de Christine est trempée depuis l’entre-jambe jusqu'à l’élastique sous son nombril.
Chacun fait glisser et enlève le dernier vêtement de l’autre. Nous nous allongeons pour un soixante-neuf « endiablé ».
Quand Christine atteint son orgasme et que je suis au bord de l’explosion, nous arrêtons pour reprendre notre souffle... Je lui demande :
« La semaine prochaine, je ne sais pas où j’irai... Si c’est à l'étranger. Tu voudras venir encore avec moi ?....
Écoute, tu es gentil... En ta compagnie, j’ai passé les meilleurs moments de ma vie... J’ai goutté tous les plaisirs que mon sexe pouvait me donner... J’étais partie pour visiter Paris... En passant, tu me laisseras là-bas... J’ai encore quelques jours de vacances.
C’est comme tu voudras... Je respecte ta décision... Nous allons nous quitter en « bons amis ».
.. Je vais te faire un cadeau en souvenir de ces moments passés ensemble...».
J’att, sous la couchette, le paquet acheté dans le sex-shop allemand. Je lui tends :
« C’est quoi ? ....
Regarde... Et tu verras qu’il y a encore des plaisirs que tu ne connais pas... »
Elle défait le papier... Rougit un peu en apercevant la photo sur la boîte qu’elle ouvre... Elle en extrait le contenu...
« Mon Dieu, quel engin !... Tu es fou !...
Avec ça, tu vas en découvrir d’autres plaisirs... Regarde...»
Lui prenant le gode des mains, je lui fais voir comment mettre le vibreur en marche, comment augmenter et diminuer l’intensité des vibrations, comment mettre du liquide tiède à l’intérieur pour avoir des sensations plus « réalistes »...
« Pourquoi il y a cette ventouse dessous ?...
C’est pour le « coller » au fond de ta baignoire, au fond de ton bac à douche, sur du carrelage...
Comme ça il reste dressé et tu peux t’«empaler » et te faire jouir toute seule...»
Tout en « manipulant » l’engin, je le lui passe sur les joues, le cou, la poitrine. Je me suis attardé sur ses seins qui réagissent aussitôt. Ils se tendent, les tétons se dressent « fièrement ». Je reprends la « descente » sur son ventre, passe sur son « mont de vénus », continue sur ses cuisses en évitant de passer trop près de sa vulve.
Christine apprécie ces nouvelles sensations. Yeux fermés, dents serrées, elle ne bouge pas. Elle laisse échapper des gémissements de volupté, quelques paroles :
« Ah... Que c’est bon !... Encore !... Ouiiii !... »
Je remonte par l’intérieur de ses cuisses... Le long de ses grandes lèvres... Je redescends en passant entre ses chairs tendres... Je continue par de lents vas et viens de plus en plus appuyés... Les petites lèvres s’écartent... Le « gardien du paradis » sort de son abri... Je le « titille » un peu... Christine « accuse » le coup en « tortillant » du bassin...
Quand sa vulve est bien ouverte, en redressant cette bitte vibrante, je la fais descendre dans sa grotte d’amour.
.. Lorsque je sens qu’elle touche le fond, j’augmente l’intensité des vibrations...
Chaque fois que je remonte, Je m'attarde sur le « clito »... Il est gonflé au maximum... Le tenant découvert d’un doigt, il est sorti sur plus d’un centimètre...
Christine n’y tient plus !... Tout son bas-ventre s’agite en des convulsions nerveuses... Ses gémissements deviennent des râles de plus en plus graves, de plus en plus forts... De ses deux mains, elle essaye de me prendre l’engin « explorateur »... La cyprine coule en un filet continu de sa vulve... Je m’en approche, sortant ma langue en arrondi, j’aspire et me délecte de cette boisson tiède et légèrement sucrée, à mon goût...
Au bout de quelques minutes de ce « supplice », j’arrête tout. Passant à califourchon sur son bassin, je la pénètre avec mon « braquemart »... L’abondance de « lubrifiant » facilite la « descente ».
Á peine arrivé au fond, je vide toute ma purée en longues giclées chaudes et épaisses. Á chaque spasme « éjaculatoire » Christine « accuse » le coup. Elle « tressaute » et se raidit, comme si elle recevait des décharges électriques, avant de tomber en « pâmoison »... Nos orgasmes, se confondant simultanemment en un seul... Sa « perte de connaissance » dure quelques minutes...
Reprenant ses esprits. elle me dit :
« C’est trop fort !... Trop bon !...
Je te l’ai dit, tu as encore bien des plaisirs à avoir...
En dix jours, avec toi, j’en ai connu beaucoup plus que toute ma vie... Je ne te remercierai jamais assez...
Alors, ne dis rien... Je n’ai fait que te transmettre ce que d’autres femmes m’ont appris... Maintenant, c’est à toi à en découvrir, en obtenir d’autres... »
Nos ébats et la « récupération » ont duré plus d’une heure.
Je remets en route et roulons jusqu’à Paris.
Christine a rassemblé ses affaires dans son sac...
Avant de ranger son cadeau, elle le sort de sa boîte le regarde, l’embrasse et lui dit, en riant :
« Je vais faire de toi mon meilleur ami !... Nous allons passer de bons moments ensemble... »
Arrivé « Porte de la Chapelle », je quitte le boulevard périphérique... Trouvant une place pour me garer, j’immobilise le camion...
Nous nous quittons, sans un mot, après avoir échangé deux bises d’adieu sur chaque joue. C’est tout de même avec un pincement au cœur, quelques larmes dans les yeux, que je reprends la route...
Dans mon rétroviseur, je peux voir ma « passagère » se diriger vers une entrée du métro... sans se retourner...

Petikokin

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